Bonjour Nicolas, pourriez-vous vous présenter et nous dire quelle est votre fonction chez GB Foods ?
Bonjour, Nicolas Andries Directeur National des Ventes chez GB Foods depuis un peu plus de 3 ans.
GB Foods, c’est un groupe international, composé de plus de 3000 collaborateurs présents dans environ 50 pays dans le monde et sur différentes catégories de produits.
On est présents sur les pâtes et riz, sur les sauces, les exhausteurs de goût, les thés et infusions ou encore les soupes et bouillons.
La particularité de GB Foods, c’est d’être sur des marques uniquement locales et qui ont très généralement un leadership sur leur marché local.
Nos marques en France chez GB Foods sont Liebig et Royco sur l’épicerie, soupes ambiantes soit liquides soit instantanées ou encore La Ferme d’Anchin.
Notre marque La Ferme d’Anchin est présente au rayon fruits et légumes.
On est fabriqué en France. Liebig et Royco sont fabriqués dans notre usine du Pontet située à côté d’Avignon, dans le sud-est de la France et notre marque La Ferme d’Anchin est fabriquée dans notre usine de Liévin dans le nord de la France.
Quelle est votre organisation force de vente ?
Notre organisation force de vente est assez simple, assez classique, on est 46 personnes. La France est divisée en cinq régions, à la tête de chaque région un directeur ou une directrice régionale chaque région est divisée entre 6 à 8 secteurs et à la tête de chaque secteur, un chef de secteur et en plus de toute cette armée il y a deux personnes qui m’accompagnent au siège sur le développement commercial.
A quels problèmes avez-vous souhaité répondre en faisant appel à Datakiss ?
Ne plus le faire moi-même !
Au-delà de la plaisanterie, on a voulu répondre à plusieurs problématiques.
La première problématique, c’est la charge de travail. Je m’explique, quand on fait du multi-catégories à savoir de l’ambiant et du frais avec toutes les ambitions et les objectifs qu’on peut se donner. Notre rôle est de répondre à cela à travers les leviers du mix, à savoir l’assortiment, la promotion, le linéaire.
Et si on ne se cadre pas, si on n’est pas un peu méthodique sur l’ensemble de ces ambitions là, on peut avoir un plan de charge et donc une charge de travail qui explose.
Donc on a voulu apporter une réponse à cette problématique-là.
La seconde problématique à laquelle on a voulu répondre en travaillant avec Datakiss, c’est de remettre les objectifs business au centre de notre activité.
Les objectifs business c’est le chiffre d’affaires et la part de marché que ce soit en masse ou en évolution.
On a voulu les remettre au cœur de notre quotidien.
Et pour ça, en travaillant avec Datakiss et le panéliste Nielsen avec lequel on travaille on a pu remettre ces objectifs au cœur de notre activité.
Et la troisième problématique à laquelle on a voulu répondre, c’est celle de s’adapter aux évolutions quotidiennes du Trade.
On voit bien, à travers les créations et les dissolutions des différents groupes et des différentes négociations.
Le Trade évolue constamment et nous en tant que prestataire au sein de notre propre organisation, on se doit d’être agile, flexible pour pouvoir répondre à ces problématiques.
Comment s’est déroulé le projet avec Datakiss ?
Bien ! Il s’est bien déroulé. Tout s’est bien déroulé parce que déjà, quelque chose qui est extrêmement important, je pense aujourd’hui : c’est de la bonne humeur en permanence. Et c’est extrêmement agréable de travailler dans ce cadre-là.
Beaucoup d’écoute et de force de proposition, d’aide à la décision. Je m’explique. En fait, quand on rencontre pour la première fois Datakiss et l’équipe Datakiss, on échange beaucoup au départ. On pose globalement un diagnostic. Et une fois que ce diagnostic est posé ; en fait, il y a un constat et on met en place un plan d’action.
C’est là que je dis qu’il y a eu beaucoup d’écoute et d’aide à la décision parce que ça a permis de mettre en place tout ça.
Une collaboration qui a été riche, avec beaucoup de discrétion dans les échanges et ça, c’est extrêmement agréable. Et puis savoir pouvoir faire confiance
Et puis après Datakiss, je pense que c’est à l’image du produit et de la solution qu’ils vendent extrêmement disponible, agile, rapide. Très positif.
Quels sont les bénéfices récoltés de l’usage de Territory Planning ?
Déjà on a atteint les objectifs qu’on s’était fixés.
C’est extrêmement positif et ça a permis, pour moi c’est extrêmement important, de donner du sens à l’ensemble de l’entreprise sur notre activité et aussi de rassurer les équipes.
C’est à dire, Il y a une méthode qu’on est capable d’expliquer avec des magasins, un plan de charge.
Le plan de charge, c’est quoi ? C’est la fréquence de visites, le temps de visite, c’est le routing. On mixe tout ça. Et puis à la fin, on arrive à une charge de travail.
On est capable de montrer la charge de travail à l’ensemble des collaborateurs. C’est un process, ça rassure et ça c’est parfait !
Recommanderiez-vous Datakiss à une autre Direction Nationale de Ventes ?
Vas-y, fonce !
À mon sens, il faut y aller.
L’outil est puissant, l’outil permet plein de choses et c’est rapide.
Il ne faut pas hésiter et, très honnêtement, ça apporte beaucoup d’éléments de réponse.